On m’en avait vanté les mérites (notamment le bo-bun). Les plats (boeuf aux oignons et bo-bun) étaient trop poivrés, au point qu’à la fin, c’était la seule chose qui nous restait en bouche.
Mais le pire était le rouleau de printemps. Tellement sec qu’il est impossible qu’il ait été fait le jour même (et je m’y connais en rouleaux de printemps, ce fut mon métier pendant 3 ans!)
Après, ça peut arriver d’oublier un rouleau de la veille et ça ne mérite pas d’être cloué au pilori. Et à leur décharge, lorsque je les ai appelés pour le leur faire remarquer, ils se sont excusés et ont spontanément proposé de me rembourser.
Néanmoins, le reste n’était pas beaucoup plus convaincant, à part les délicieux beignets de crevettes (bien qu’un peu trop épais mais c’est un détail qui ne gâche pas vraiment la qualité gustative): brochettes de poulet fines et grasses, brioche sans intérêt.
Et pour tout de même leur rendre justice, les nems du bobun sont absolument délicieux.